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lundi 23 décembre 2013

Infidélité : avec qui trompe-t-on la première fois ?

54% des infidèles se connaissent. C’est ce que révèle l’enquête Gleeden sur l’infidélité d’après les réponses des 3806 personnes infidèles interrogées.

Dans 54% des cas, avec un(e) ami(e)
La première fois que les infidèles passent à l’acte, c’est majoritairement avec une personne qu’ils connaissent. En effet, la majorité des cas (36%), les infidèles commettraient leur toute premier écart une ou un ami(e). En second lieu, la première escapade pour trois infidèles sur 10 (29%)se dérouleraient avec leur ex !
17 % des amants(es) sont une relation professionnelle et 7% d’entre eux peuvent être aussi un voisin ou une voisine.
Les femmes recherchent la confiance, les hommes la facilité 
Mais pourquoi les femmes sont-elles infidèles avec un ami ? Essentiellement car elles lui font confiance. «Les femmes ressentent un besoin accru de compréhension et d'affinité pour se sentir prêtes. Sauter le pas leur demande souvent davantage de cheminement personnel qu'à leurs homologues masculins, moins enclins à réfléchir leurs actes » analyse Anne-Sophie Duthion, porte-parole de Gleeden.com. Et de poursuivre « pour une femme, le déclic est moins mécanique et le contexte s'avère central : elle a besoin de se sentir désirée et rassurée à la fois. » En revanche les hommes font ce choix plutôt par facilité relationnelle et géographique! 
L'infidélité pousse à l'infidélité
Les infidèles « rassurés » par leur première expérience avouent préférer ensuite des relations plus discrètes et sécurisée. 
16% d’entre eux reconnaissent avoir rencontré leur amant(e) sur internet deux mois après la première escapade, ce chiffre atteignant 21% après 6 mois de vie infidèle. 
Internet semble faciliter et rassurer les infidèles qui ne veulent pas éveiller de soupçons auprès des leurs conjoints
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personnes malheureuses en couple plus à risque

Les résultats d’une vaste enquête menée auprès de 5 000 Américains suggèrent que de mauvaises relations de couple, amicales ou professionnelles augmentent le risque de dépression chez les personnes concernées.

Le mantra selon lequel vaut mieux être seule que mal accompagnée trouve une justification dans une récente étude parue dans la revue Plos One. La qualité des relations sociales au sens large (affectives et/ou professionnelles) peut jouer un rôle dans le développement de troubles dépressifs. Après avoir étudié la qualité des relations sociales de 5 000 Américains sur une période de 10 ans, l’enquête tire une conclusion qui pourrait amener certaines personnes à remettre en cause la qualité de leur entourage. Les personnes négatives empoisonnent notre quotidien et notre mental en  nous rendant plus vulnérables à la dépression. Les personnes qui ont un partenaire insupportable avec qui elles n’arrêtent pas de se disputer sont plus à risque que les célibataires. Plus largement, les personnes qui entretiennent des relations sociales de faible qualité doublent leur risque de souffrir de dépression ! "Notre étude montre que la qualité des relations sociales est un facteur de risque important de dépression", observe Alan Teo, psychiatre à la Robert Wood Johnson Foundation Clinical Scholar de l’Université du Michigan et auteur de l’étude.  
Fuir les relations nocives
C’est bien gentil, mais comment on arrive à juger de la qualité de nos relations, une notion si subjective ? Le psychiatre fournit quelques pistes d’évaluation comme un manque de soutien de la part du partenaire, de la famille ou des amis ou encore la pression exercée par certaines personnes de son entourage.
Le chercheur affirme qu’une personne sur 7 ayant de "mauvaises" relations développera des troubles dépressifs contre seulement une personne sur 15 avec des relations de qualité. Si vous cherchiez une bonne excuse  pour couper les ponts avec des personnes "nocives" de votre entourage, vous pouvez leur dire que c’est une question de santé mentale.
Les problèmes de couple peuvent entrainer une dépression

Cela peut paraitre évident mais avoir une relation de couple épanouie permet d’être plus heureux. Une équipe de chercheurs américains à quand même voulu prouver cet état de fait de manière scientifique.

En cas de problèmes récurrents dans votre couple, suivez une thérapie à deux pour éviter la dépression ! C’est en substance la conclusion d’une équipe de chercheurs de l’Université du Michigan (Etats-Unis) qui a suivi 5000 Américains, en couple ou célibataires, pendant 10 ans pour évaluer leurs risques de dépression. Les résultats de cette grande enquête viennent d’être publiés dans la revue scientifique Plos One.

Les chercheurs ont découvert que les relations de couples étaient les plus susceptibles de constituer un facteur de risque de dépression : une personne en couple aurait une chance sur sept de connaître une dépression contre une personne sur quinze pour les célibataires. Par ailleurs, vivre heureux en couple permet d’être moins sujet à la dépression que le célibat.

L'étude suggère ainsi que les couples en difficulté devraient suivre une thérapie conjugale pour préserver leur union… et leur santé mentale.

Lire aussi :
Les hommes agissent comme des enfants jusqu'à 43 ans
Selon une étude britannique, les hommes n'atteignent l'âge de la maturité qu'à partir de 43 alors que pour huit femmes sur dix, ils n'arrêtent jamais d'agir comme des enfants.

Après le syndrome de Peter Pan, c'est le syndrome de l'éternel adolescent qui prends le relais chez les hommes. Selon une étude britannique commandée par la chaîne pour enfants Nickelodeon UK et rapportée par le Daily Mail, les hommes n'atteignent pas l'âge de la raison avant leurs 43 ans.
Cette nouvelles ne surprend probablement pas certaines femmes, dont l'âge moyen de maturité a été fixé par la même étude à 32 ans, soit 11 ans plus tôt que les hommes. D'ailleurs, huit femmes sur dix sont convaincues que les hommes ne cessent jamais de se comporter comme des enfants.
En cause, les comportements immatures tels que trouver ses propres rots amusants, jouer aux jeux vidéo, manger n'importe comment, conduire trop vite, détester les livres, avoir un skateboeard ou encore, répéter les mêmes blagues sans arrêt .
Conséquence : une femme sur quatre a l'impression de prendre toutes les décisions importantes dans le couple et  trois femmes sur dix ont mis fin à une relation parce qu'elles ont perdu patience face à un partenaire trop 
Pour vivre plus longtemps, évitez les disputes de couple

La belle-mère, les enfants, les programmes télé, les finances… On trouve plein de raisons de se chamailler avec son compagnon. Une étude américaine nous alerte des dangers pour la santé de ces accrochages qu’on croyait anodins. Petite leçon de bonheur conjugal.

Pendant 20 ans, une étude s’est penchée sur l’impact de ces banales disputes de couples sur la santé. Le quotidien (plus ou moins rose) de 1 700 adultes mariés a été suivi. Pendant ces deux décennies, la santé physique,  l’état émotionnel, les disputes de couple, ont été scrutés à la loupe. Les couples devaient évaluer tous ces aspects de leur vie sur une échelle allant de "mauvais" à "excellent".
L’étude en a conclu que les couples qui se querellent le moins ont plus de chances de vivre plus longtemps en bonne santé. Ô stupeur : on savait que les scènes de ménages nuisaient à la solidité du couple, mais on soupçonnait moins que cela pouvait affecter la santé des deux conjoints. Les dangers qui guettent les personnes malheureuses en couple font froid dans le dos : dépression, anxiété, troubles du sommeil ou troubles du comportement alimentaire.
Rick Miller, professeur à la School of Family Life à la fervente Brigham Young University aux Etats-Unis est formel : “Le conflit conjugal représente un facteur de risque pour la santé mentale et physique". Dans le Journal of Marriage and Family, il met en garde les amants trop belliqueux : plus les disputes sont nombreuses, plus la santé de chacun risque d’en pâtir.
Les clés du mariage heureux
A l’inverse, un mariage heureux déteint positivement sur la santé des deux partenaires (ouf!) : moins de stress, plus de repas partagés et cuisinés ensemble (donc plus équilibrés). Le quotidien d’un couple sans nuages est aussi un couple solide qui sait s’épauler et se soutenir moralement pour arrêter de mauvaises habitudes comme la cigarette ou en cas de souci professionnel, rapporte l’étude. On en aurait presque la larme à l’œil.
On regrette que cette étude américaine moralisante n’ait pas estimé le seuil d’alerte de querelles de couple au-delà duquel il est préférable de redevenir célibataire.
Couple : travailler loin de chez soi peut le mettre en péril
Si on vous propose un travail à plus de quarante-cinq minutes de votre foyer conjugal réfléchissez-y bien avant de vous engager. Ce faisant, vous risquez de vous éloigner de votre partenaire et de menacer votre couple, selon une étude suédoise.

Les longs trajets domicile-travail peuvent être sources d’épuisement. Pire, ils peuvent être un poison pour votre couple. La chercheuse suédoise Erika Sandow a enquêté auprès d’un million de Suédois entre 1995 et 2005 afin de déterminer l’impact du travail à distance du domicile sur la santé du couple. Ses conclusions ne sont pas rassurantes : le risque de séparation s’élève à 40% quand le trajet domicile-travail est de plus de 45 minutes. Pour limiter les dégâts, mieux vaut rester à une distance plus raisonnable, soit moins de 45 minutes de chez soi.
Précisons quand même que ce risque de rupture est particulièrement présent quand ces navettes s’effectuent depuis moins d’un an. La chercheuse souligne que les couples qui ont l’habitude d’effectuer plus de 45 minutes de trajet pour aller travailler depuis plus de cinq ans semblent immunisés contre ce danger. Ses observations montrent que ces couples-là ne sont en effet pas plus à risque que les couples qui travaillent près de chez eux.
Les hommes qui travaillent loin plus concernés

Un détail curieux, ce risque de séparation guetterait plus les hommes que les femmes. Les femmes qui font beaucoup de route pour aller au bureau ne s’exposent qu’à un risque accru de 8% de séparation avec leur partenaire. Les hommes seraient-ils plus enclins à se plaindre de ces trajets ? Malheureusement, l’étude ne livre pas d’explications, nous laissant libres d’imaginer le scénario le plus probable : distance, manque de communication, fatigue… 
La question du travail loin de son couple renvoie au fameux débat autour des relations à distance. Pour certains,elles solidifient le couple quand pour d’autres elles sont vouées à l’échec. Là encore la réalité est finalement très subjective.
Insolite : le bonheur du couple serait génétique

A quoi tient un mariage heureux ? Qu’est ce qui rend les couples durables ? Médecins, psychologues, hommes, femmes cherchent depuis longtemps la réponse à ce mystère. La réponse pourrait être génétique.

Le psychologue Robert W. Levenson a voulu comprendre pourquoi certaines personnes étaient plus à l’écoute que d’autres dans le couple. Il a cherché à savoir si cette différence pouvait être génétique. Avec des chercheurs de l'Université de Berkeley et de l'Université Northwestern (Etats-Unis) ils ont trouvé un indice important dans notre ADN qui répondrait à cette question. Ils ont  identifié un gène impliqué dans la régulation de la sérotonine qui peut prédire la manière dont nos émotions peuvent affecter nos relations conjugales.
« Avec ces nouvelles découvertes génétiques, nous comprenons maintenant beaucoup mieux ce qui détermine à quel point les émotions sont différentes pour chaque personne », explique le psychologue Robert W. Levenson ». « Nous pouvons même affirmer que le bonheur conjugal est lié à la génétique ».
Les scientifiques ont analysé le génotype (ensemble de l’information génétique d’un individu) de 156 couples mariés depuis plus de 20 ans. Tous les 5 ans les participants de  l’étude ont dû rendre compte de leur satisfaction conjugale.
En conclusion de leurs recherches, les chercheurs ont trouvé un lien entre l’épanouissement dans le couple et une variante du gène « 5- HTTLPR ».
Si tous les êtres humains héritent d'une copie de cette variante du gène de leur parent, les 17% des participants de l'étude qui présentaient 2 gènes 5 - HTTLPR courts, apparaissent comme les plus malheureux en mariage. Ils étaient en effet extrêmement sensibles aux émotions négatives comme la colère et le mépris et extrêmement heureux aux émotions positives, comme l'humour et affection.
En revanche, les bénévoles qui ont un ou deux gènes longs étaient beaucoup moins perturbés par les émotions négatives vécues pendant leur mariage.
Le psychologue Robert W. Levenson en déduit que « que deux personnes ayant des gènes 5- HTTLPR courts sont plus susceptibles de s’épanouir dans un mariage porté par des relations positives et qu’ils souffriront dès que les relations se détérioreront. En revanche les personnes ayant un ou deux gènes longs sont moins sensibles au climat émotionnel et supportent mieux les conflits et les relations négatives ".
Cette étude a été publiée dans la revue Emotion, un magazine scientifique spécialisé en psychologie.
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